En farfouillant dans mon PC, j'ai retrouvé des petits textes qu'on s'amuse à écrire comme ça, dans une impulsion, et qui retombent dans l'oubli ensuite. (c'est une exclusivité, vous êtes les seuls à y avoir accès ! enfin bon quel accès...) Bref, y a prescription, je montre jamais ce que j'écris, et jvoudrais savoir ce que les autres en pensent, à titre de curiosité, pour une fois, si ça vous chante.
Regarde le papillon qui joue dans les fleurs
Regarde le bel oiseau qui joue avec les nuages
Regarde la montagne qui chatouille le ciel
Regarde les étoiles qui éclairent tes rêves,
Regarde la lune qui veille sur ton sommeil
Pense à Peter Pan, à la fée Clochette.
Va avec eux, deviens magicien. Monte dans l’avion,
Et baisse les yeux : un homme te regarde, il attend de te rejoindre.
Les yeux dans les yeux,
Main dans la main,
Ils courent.
Ils courent dans le chemin.
Dans le noir, dans la lumière.
Passé suit Futur ;
Futur suit Passé.
Dans quelle direction, vers quelle destinée ?
Seule peut le dire,
La vague d’Eternité.
Dans mon cœur coule une rivère.
Dans ma tête coule un torrent,
Dans mon ventre brûle un feu ardent,
Dans mes pieds fourmillent le souffle du vent.
Mais dans mes yeux brillent des étoiles,
Que tu fais exister, que tu m’a données,
Les étoiles de ton amitié.
Il pleut.
Mon esprit se dilue.
Garder les idées claires
Comme de l’eau de pluie ruisselante le long des trottoirs
Vers les égouts.
Irais-je aussi, avec la pluie ?
Fini.
Pourquoi ?
Pas le tps, pas l’espace
Amour tjs naissant,
Etouffé, assassiné
Il se bat
Ms perd des forces.
Le tps et l’espace,
Ennemis féroces.
L’amour résiste dans le chagrin
Impossible de dire que c’est la fin.
Il m’aime, je le sens.
Inutile de lui dire que je l’aime, il le sais.
Ensemble, meurtris, éloignés.
Forcés de se quitter, vulgaires pions manipulés,
Par des ennemis avec tjs plus de force,
Matériel contre sentiments
Qui devraient aller ensemble,
Qui se combattent effroyablement
Pour une mise à mort soudaine, impossible, à demi commencée,
Qui ne sera jms achevée
On ne cessera de s’aimer,
Même dans le désespoir et l’aloignement,
Le soleil percera tjs à travers nos nuages, à travers nos orages.
Notre soleil, pour nous seuls, tjs.
J’attends.
Quoi ?
Je ne sais.
J’attends.
Pourquoi ?
Pour savoir ?
Pour savoir quoi ?
Je ne sais. Saurais-je un jour ?
Aurais-je le courage ?
De savoir, de pouvoir, de faire, de DEVENIR ?
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